Va voir ta mère.
Ça devait sortir ^^’
Je ne suis pas concernée par ce problème en particulier mais punaise qu’est-ce que ça m’énerve d’en être témoin… !!!
Ya des trucs comme ça qui me prennent de la place dans la tête et qui ne me font pas du bien (ruminations tout ça… ) j’ai eu un besoin d’extérioriser ses sentiments… ça va mieux !! 😤
22 Avr. 2024
Voir aussi :
Erika tome 3 : DERNIÈRES HEURES !!
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20 Nov. 2024
Le cadeau mystère révélé !
La vie
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19 Nov. 2024
Le vrai but
La vie
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15 Nov. 2024
Excellent !
Comme je te comprends ! Ce genre de bonhomme m’exaspère !
OH MAIS QUEL ENFER !! Dans ce cas là j’aurais été comme toi ça m’énerve tellement !
Ma réaction quand mon médecin, qui attendait l’accouchement de sa compagne dans les prochains jours, a dit « qu’il faudrait aider la mère après l’accouchement » >:C Pardoooon
La charge mentale dans le couple, vaste sujet qui a de quoi mettre en rogne. Sans oublier que si le père change une fois la couche on va le couvrir de louanges comme si c’était un exploit mais la mère elle n’aura le droit qu’à l’indifférence la plus totale (bah oui, c’est son rôle voyons)
Contente que le mien ne soit pas comme ça.. il a changé pleiiiin de couches !!! Et il cuisine…
Ah oui, vu comme ça, je comprends que ça énerve !
Allez, pour me faire l’avocat du diable, peut-être que (on peut rêver) :
– ils s’occupent des couches un jour sur deux, et c’était le jour de maman
– il est allergique à l’odeur du caca, et ça le fait vomir
– c’est lui qui s’occupe du biberon la nuit pour que maman puisse dormir
– lui s’occupe du bricolage, des courses, du ménage…
– ils ont un arrangement intelligent avec une répartition égalitaire des tâches (que l’on ne connait pas)
Et effectivement, on juge avec ce que l’on voit sur le moment, sans forcément avoir le contexte et l’historique.
Par exemple :
– si on voit un mec rentrer dans un métro, dire poliment à une femme « Bonjour madame », et qu’elle lui colle une grande baffe, on va la prendre pour une folle. Mais ça fait peut-être 30 minutes et 3 métros qu’il la harcèle…
– si on voit deux personnes s’embrasser, on va trouver mignon de voir deux personnes très amoureuses… mais peut-être qu’il y en a une (voire les deux) qui trompe son conjoint…
Connaissant la personne je confirme qu’il ne fait pas grand chose (et je suis gentille en disant « pas grand chose »)
Tellement d’excuses données pour justifier le fait de ne pas s’occuper de son gosse… c’est bien triste. :/
Tellement. D accord. Surtout que quand tu dis a ton enfant « va voir ta mère » ben c’est irrespectueux pour le kid lui même. Il va rester encore plus longtemps dans sa m*rde avec autant de possibilité pour développer infection urinaire ou mycose. C’est de l’irresponsabilité. Et sérieusement. Qui fait les couches en rotation un jour sur deux à part les femmes/mari de militaires ou docteurs qui sont absents du domicile.
Et toi qui vient d écrire ce message tu n as pas de gosse c’est clair. Personne dans un couple n échange les couches contre une autr corvée. Oui y a de l’agacement des fois. De la fatigue beaucoup. Mais tout le monde s’implique dans les familles équilibrées. Personne ne laisse le gosse dans sa merde sous prétexte qu il a monté un Kallax la veille . Pareil si tu es allergique à l’odeur du caca ben fais toi ligaturer les trompes ou les couilles t’auras moins de problème. Je déteste les gens. Surtout que pour bien enfoncer le clou (du Kallax) bah c’est souvent le même genre de personne qui ne changent pas les couches que ceux qui entendent pas le bébé qui pleure la nuit. Et qui savent jamais quand le bébé a rendez vous chez le toubib. Ha oui ils s en foutent eux, ILS BOSSENT hahahaha
Désolée pour le contre-exemple, j’ai des jumelles et ça ne me dérangeait carrément pas de m’occuper des couches en échange d’autres corvées.
Les couches, j’ai jamais trouvé ça pénible : on rigole avec son bébé, c’est un moment sympa, l’occasion de faire des grimaces pour le faire rigoler, de lui murmurer des mots doux, on se lave les mains à la fin et voilà. Le caca ne me traumatise pas plus que ça, d’ailleurs mes filles avaient des langes lavables donc changées plus souvent que la moyenne.
Mais quel pied de ne pas avoir à penser à la logistique des repas, à décider de ce qu’on va manger, à faire les courses, à cuisiner… Ça oui, ça me gonfle, et je suis bien contente que mon mari s’en charge encore aujourd’hui et de mettre les pieds sous la table (je prend d’autres trucs en charge comme la lessive qui l’ennuie lui).
Effectivement, il y a des personnes qui ne s’occupent pas de leur(s) enfant(s), des tâches quotidiennes de la maison, évitent au maximum toute contrainte, et laissent cela, avec toute la charge qui va avec, à d’autres…
Ces autres personnes qui, malheureusement, se laissent (un peu trop) faire…
Ces personnes qui se laissent un peu trop faire…
Ou qui abdiquent pour la paix des ménages… Pour ne pas créer de disputes. Ou parce que sinon ce n’est pas fait du tout. Ou pas correctement. Et que si la moindre remarque est glissée, ce sont des reproches en cascade « tu controles tout, tu ne sais que raler, la prochaine fois tu te debrouilles, tu ne sais pas lacher prise, tu te préoccupes de broutilles, moi je prefere comme ça, tu n’es jamais satisfaite, etc etc etc »
Parce qu’au final, c’est moins de travail de faire la tâche de suite, plutôt que de laisser l’autre s’en occuper.
En grinçant des dents parce qu’il met plusieurs jours. Que vivre avec un fauteuil couvert de linge une semaine, oui ça agace, en plus le linge prend la poussière, les poils de chats, se retrouve plein de plis et c’est laid et pas agréable et bon sang est-ce compliqué à la fin ?
En augmentant sa charge de mentale « non n’y touche pas, laisse le faire ». Parce que la vaisselle s’entasse, les lessives prennent du retard, un sol lavé en un tournemain va prendre plus de temps, les courses pas faites obligent à dépenser en plats livrés ou à se creuser plus pour cuisiner…
On le fait parce que l’autre ne le fait pas correctement pour de vrai, ou ne range pas derrière, ou qu’il râle tellement que l’atmosphere se tend et qu’apres il faut marcher sur des oeufs. (Le comble)
Parfois les personnes ne se laissent pas faire. Par égard pour l’autre, le couple et eux-même. Faire à la place de l’autre ne lui donne pas l’occasion de décevoir. On souffle un coup et on passe à autre chose. On est bien pointilleuse pour la poussière, on est capable de tellement plus de résilience pour celui que l’on aime.
Parfois on fait parce qu’on veut justement passer à autre chose. Parfois on fait parce qu’au contraire de laisser faire, on supporte plus encore pour éviter une situation qui pourrait inutilement dégénérer.
Parce que parfois, quand on ne laisse pas faire, cela épuise. Et qu’on préfère faire, justement.
Les tâches ménagères, ce ne sont pas des coups. C’est supportable, c’est lourd mais il y a plus grave.
Parce qu’il y a une victoire à taire son agacement, il y a de la force dans l’abnégation.
Ceux qui se laissent trop faire ne le font jamais de gaïté de coeur, mais par nécessité. Parce qu’a force de le faire pr aller plus vite et moins se prendre le chou, cela devient une routine, on n’y réfléchit plus. C’est se laisser faire, que d’avoir des habitudes ? On oublie. Et parfois, on en éprouve plus vraiment d’injustice.
Le pire, c’est que l’autre aussi oublie. Il oublie cette tâche à faire car elle est toujours faite ! Et le jour où l’autre demande, on s’étonne ! On a tt de même un peu raison. On fait moins bien: comme on le voyait plus, et que ca fera toujours partie du paysage, on le fait en surface. Il oublie que la tâche n’est pas faite, qu’elle a toujours été faire, par quelqu’un.
On oublie que ces tâches sont parfois tout un tas de petites attentions, qui facilitent un quotidien. Mais forcément, une fleur, une pâtisserie ramenée, un petit mot laissé sur le miroir de la salle de bain, c’est tellement plus joli, tellement plus sympa à penser/faire/acheter que les caleçons toujours en ordre dans le tiroir.
Et puis surtout, ça ne demande pas d’être répété à maintes reprises…
En ce qui concerne les tâches ménagères, ceux qui se laissent un peu trop faire, ce ne sont certainement pas ceux qui font à la place, sans mot dire. Ceux-là, ils font, et beaucoup.
Ceux qui se laissent un peu trop faire, en revanche, sont ceux qui considèrent leur quotidien comme normal lorsqu’il est impeccable. Un quotidien normal c’est ranger ses chaussures et retourner ses chaussettes avant de les mettre dans le panier de linge sale.
Ceux la se laissent faire, ne font plus, et en profite pour se laisser vivre ou avoir du temps pour un hobby.
Désolée du monologue, mais cette phrase, ceux qui se laissent un peu trop faire, m’a hérissé le poil.
Quelle honte, quel scandale que de se permettre de juger ceux qui en font le plus, sous prétexte qu’ils ne s’affirment pas alors qu’ils ont la force d’accepter, de supporter le poids du devoir, parce qu’ils n’ont pas le choix, ou parce qu’ils sacrifient à l’amour des mains pleines d’eau sale et une pile de linge repassé.
Il n’y a pas ceux qui se laissent faire et ceux qui ne font pas.
Il y a ceux qui deviennent aveugles et ne cherchent pas à voir, comprendre, qui preferent un tour en ville plutot que repriser un tee-shirt ou décorer le livre de classe de la gosse.
Il y a ceux qui ne laissent même pas une chance à ttes ses petites tâches de se réveler satisfaisantes, amusantes, ou dur, oh la la, c’est tjs comme ca ? Occasion merveilleuse de se rendre compte de l’autre et si l’on aime, d’avoir envie de soulager, de faire aussi.
Il y a ceux qui ne veulent pas du tout être concerné, trouvant milles excuses, et se rattrape avec ce qu’ils appellent « une petite attention ». Un mot gentil, un barbecue, un bain que l’on fait couler…
(Après tout, qui a acheté les gels douches et sels de bains ? Approvisionné l’armoire en serviette propre et moelleuse ? Pris du temps pour choisir un tapis de bain sympa. Qui nettoie la baignoire ? Frotte le calcaire ? Pense à vider l’eau stagnante du porte-savon ? Qui nettoiera le linge utilisé ?
Qui a acheté la viande pour le barbecue ? Qui a mis la table ? Fait les courses pour les accompagnements ? Cuisiner ces accompagnements. Débarasser, nettoyer la graisse tenace du barbecue et les ustensiles ? Et, le cas échant, penser à inviter les amis, organiser, le jour, la date, l’heure, les coups de fils, pris plaisir à recevoir dans un endroit qui nous ressemble.)
Il y a ceux qui ont l’audace de penser que le plus engagé dans l’histoire, celui qui prend le plus soin de l’autre, se laisse faire. Il y a ceux qui feraient mieux de se sentir tout petits auprès de ceux qu’ils jugent comme trop conciliants, parce que faire cela, c’est non seulement juger alors qu’on ne sait pas, se tromper dans ce que l’on juge, mais c’est aussi et surtout une claque assénée à crux qui font le plus. C’est laisser entendre que c’est quelque chose de négatif, et donc culpabiliser. Ceux qui en font le plus, mais ont le bon goût de ne pas le porter en étendard, et le font par amour, de l’autre, du calme, ou de sa propre personne.
Ce genre de commentaire est réellement minable.
S’il existe réellement des personnes qui se laissent trop faire, alors il faut les aider. Non pas en leur demandant de s’affirmer, de refuser. Accomplire à sa place, engagee une conversation saine avec l’autre, pour lui faire decouvrir par petites touches, tout ce qu’il faut faire et oh tiens ! Mais qui fait tout cela ?
Personne ne se laisse trop faire. Si c’est l’impression donnée, alors il y a là une erreur, à réparer. Par les autres !
Personne ne se laisse trop faire.
Il y a ceux qui ne font pas assez et ceux qui font bien plus.
Pas trop, pas moins. Ce n’est un échange équivalent.
Alors ravalez-donc vos petites cases « fait pas » / « fait trop » pour découvrir le monde merveilleux de « il faut le faire, comment ? ».
Aider l’autre. Toujours.
Et surtout: on a toujours raison d’être gentil. Ce sont les autres qui ont tort d’être méchants.
Réagir de façon agressive à un commentaire qui ose être nuancé et proposer d’autres pistes de réflexion, ça ne fait avancer ni le débat, ni la répartition des tâches ménagères-éducatives. Et sans débat respectueux, chacun reste campé sur des positions de plus en plus extrémistes car construites en opposition aux autres et fonce dans le mur.
Je ne parle pas du type de la BD que Yatuu semble connaître. Mais s’il s’agissait d’un inconnu, je rejoins MisterFox : trop facile de juger sans savoir. On est loin du « aider l’autre » et du « être gentil ».
Merci pour ces mots
Merci beaucoup pour ce commentaire je ne sais pas si quelqu’un qui sort « Ces autres personnes qui, malheureusement, se laissent (un peu trop) faire… » saura comprendre l’abyssale stupidité de son commentaire mais juste lire cette longue réponse m’a fait du bien.
Me taper toutes les tâches, ça suffit pas car il faut aussi que je pense à en laisser à mon conjoint?
Non, j’ai raison de m’occuper de ma maison. J’ai le droit d’avoir une cuisine propre tout de suite sans me torturer l’esprit à attendre une intervention divine. Il y a juste un truc que je fais je ne plie jamais son linge je le balance en vrac dans son armoire, et je ne mets pas les pieds dans son bureau, c’est crade c’est son pb.
merci beaucoup pour ce commentaire qui m’a permis de mettre des mots sur un contexte réel.
Bonjour Yatuu! ^^v
Je suis entièrement d’accord avec toi, les hommes sont tout aussi capables que les femmes pour s’occuper des enfants.
Je pense qu’il faut juste en parler avec son/sa partenaire avant et après l’arrivée de Bébé.
Merci pour ton travail et hâte de lire Erica et les princes en détresse 3! ^^v
Haaa mais tellement !!! Heureusement que le mien n’est pas comme ça. Et pour la dernière image :
« chérie, on mange quoi ?
– ce que tu as préparé, mon chéri » XD
Comme y’a pas de e à chéri dans la dernière case j’ai cru à un gros plot twist qu’en fait c’était un couple gay xD